Nous ne pouvons accepter cette récupération idéologique.
Narbonne, le 13 septembre
Contre l’idéologie et la récupération politique
À Bram, la municipalité a choisi de mettre en avant, une nouvelle fois, la « Journée mondiale de lutte contre l’homophobie, la biphobie et la transphobie ».
Madame le Maire Claudie Faucon-Méjean et son adjointe en charge de « l’égalité », ont tenu à déclarer que « la haine et le rejet de l’autre n’auront jamais leur place à Bram ».
Nous ne pouvons accepter cette récupération idéologique.
Bien sûr, personne ne défend la haine. Mais derrière ces slogans se cache une toute autre réalité : une instrumentalisation politique qui vise à imposer aux habitants une vision communautariste et militante, bien éloignée des véritables préoccupations des Bramais.
Alors que nos villages souffrent de problèmes de sécurité, de désertification commerciale, de difficultés pour nos agriculteurs, et que nos familles peinent à joindre les deux bouts, la priorité des élus de Bram serait donc de célébrer des journées idéologiques dictées par les lobbys.
Nous affirmons, au contraire, que la mission d’un maire doit être de protéger, de soutenir et de défendre l’ensemble de ses administrés, sans céder à la pression de minorités militantes.
La République doit rester une et indivisible, et non se fragmenter au gré des revendications.
Nous appelons les élus locaux à retrouver le sens de l’intérêt général : sécurité, justice, services publics, défense de nos traditions et de notre identité.
C’est sur ces combats que les Audois attendent leurs représentants, pas dans l’adhésion aveugle à des campagnes idéologiques importées.